Texte 4 : Comment prouver la nature humaine des tropis ?
Texte 4 : Comment prouver la nature humaine des tropis ?
Texte 4 : Comment prouver la nature humaine des tropis ?
1) Définir « gris-gris » : Le gris-gris est un objet qui porte bonheur ou malheur ou qui porte une croyance religieuse. Un objet qui montre que l’on a une croyance / réflexion.
2) Explicitez la thèse de la femme du juge :
Elle pense que les tropis ne sont pas humains car ils n’ont pas de croyance / de réflexion.
3) Retrouvez les arguments étayant la thèse de la femme du juge.
- Ils n’ont pas de gris-gris au cou / d’objet portant une croyance.
- Même ceux qui ne croient en rien ont le début d’une réflexion.
- Même l’idiot du village se pose des questions. On a trouvé chez l’homme le début d’un questionnement mais jamais chez l’animal.
4) Lire le texte p105 : Le mythe de Sisyphe.
Pour Camus, l’homme ne devient Homme que lorsqu’il sort de sa routine en se posant des questions. On retrouve ces éléments chez Vercors qui fait du questionnement l’essence de l’homme.
Les deux auteurs rapportent ces éléments au mythe de Sisyphe. Sisyphe est condamné à pousser une pierre vers le haut d’une colline et cette pierre retombe à chaque fois que Sisyphe atteint le sommet de la colline. Ce mythe est repris par Vercors et camus car Sisyphe pris dans sa routine ne se pose plus de question et a donc perdu sa qualité d’homme. C’était l’objectif des dieux de lui faire perdre son humanité.
1) Définir « gris-gris » : Le gris-gris est un objet qui porte bonheur ou malheur ou qui porte une croyance religieuse. Un objet qui montre que l’on a une croyance / réflexion.
2) Explicitez la thèse de la femme du juge :
Elle pense que les tropis ne sont pas humains car ils n’ont pas de croyance / de réflexion.
3) Retrouvez les arguments étayant la thèse de la femme du juge.
- Ils n’ont pas de gris-gris au cou / d’objet portant une croyance.
- Même ceux qui ne croient en rien ont le début d’une réflexion.
- Même l’idiot du village se pose des questions. On a trouvé chez l’homme le début d’un questionnement mais jamais chez l’animal.
4) Lire le texte p105 : Le mythe de Sisyphe.
Pour Camus, l’homme ne devient Homme que lorsqu’il sort de sa routine en se posant des questions. On retrouve ces éléments chez Vercors qui fait du questionnement l’essence de l’homme.
Les deux auteurs rapportent ces éléments au mythe de Sisyphe. Sisyphe est condamné à pousser une pierre vers le haut d’une colline et cette pierre retombe à chaque fois que Sisyphe atteint le sommet de la colline. Ce mythe est repris par Vercors et camus car Sisyphe pris dans sa routine ne se pose plus de question et a donc perdu sa qualité d’homme. C’était l’objectif des dieux de lui faire perdre son humanité.
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